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MONDONVILLE :

GRANDS MOTETS

 

J-J. Cassanéa de Mondonville (1711-1772)
In exitu Israel
Dominus Regnavit

Cœli enarrant gloriam

 

Mathias Vidal, Haute-contre
Maïlys de Villoutreys, Virgine Thomas, Dessus
François Joron, Taille
David Witczak, Basse-taille

Ensemble Marguerite Louise Chœur et orchestre
Gaétan Jarry, Direction

Coproduction Opéra Royal / Château de Versailles Spectacles, Marguerite Louise, La Cité de La Voix de Vézelay

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MONDONVILLE - In exitu Israel Ps 113 - Mare vidit, et fugitMarguerite Louise
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PRESSE

Les motets de Mondonville porteraient-ils bonheur ? Il y a vingt-cinq ans, trois d’entre eux valaient un Diapason d’or aux Arts Florissants ; en 2016, les troupes dirigées par György Vashegyi y glanaient un Diapason découverte. L’ensemble Marguerite Louise surclasse l’un et l’autre album. Il possède la ferveur des Arts Flo d’antan, avec davantage encore de précision tant côté chœur qu’à l’orchestre, davantage aussi de vigueur. Une énergie ravageuse porte les fresques chorales. Une théâtralité bien dosée, une variété jubilatoire, une fermeté d’accents captivantes, une vitalité partout entraînante : que demande de plus ?

Diapason - Loïc Chahine - mai 2022

Stupeur et tremblement

Avec ses Motets à grand chœur, Mondonville refermait brillamment le grand livre du genre. In exitu Israel, par lequel Gaétan Jarry et sa vaillante troupe ouvrent ce que j’espère être le premier volume d’une série qui devrait se compléter des six autres motets (et qui sait, des Petits motetsoù les merveilles abondent), est l’un des plus saisissantes musiques du XVIIIe siècle français, son Intrada impérieuse, ses chœurs d’écho ouvrant les flots, son immense air de ténor (Montes exultaverunt) où Mathias Vidal transfigure son chant, quel saisissement, qui trouve dans le geste épique de tous mieux qu’une interprétation, une élévation. Car Gaétan Jarry, derrière le théâtre pétri d’italianismes, n’oublie jamais la spiritualité du verbe comme celle de la musique, donnant leur impact aux deux autres motets. (…) Album saisissant, qui rappelle le génie si singulier que le genre du motet aura imprimé aux audaces de bien des compositeurs, de Pierre Robert, de Madin, de Montigny, de Blanchard, moins connus que ceux de Du Mont, Lully ou Delalande, qui tous auront illustré les psaumes avec art, mais aucun n’y aura osé faire entrer à ce point le théâtre ! Splendeur !

Artamag’ - Jean-Charles Hoffelé - 13 juin 2022 

 

 

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